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Chauffage infrarouge pour l'homme

AUTEUR DATE CRÉÉE VERSION NUMÉRO DE DOCUMENT
Simon Lea 4 Septembre 2011 V1.1 HW-004

Introduction

Faire l'expérience du chauffage infrarouge de première main, c'est savoir qu'il existe une différence de nature réelle et qualitative entre celui-ci et les autres sources de chaleur. L'expression souvent utilisée est que "ça pénètre vraiment dans vos os". Ce ne sont pas que des humains. Un certain nombre d'applications de chauffage par infrarouge sont en cours de développement dans les domaines des soins pour animaux de compagnie et du bétail, attestant de la qualité de la chaleur.

Cette extrémité du spectre de rayonnement infrarouge, parfois connue sous le nom de rayonnement infrarouge lointain (FIR), a suscité l’intérêt de l’innovateur basé à Birmingham, Simon Lea, à qui nous avons parlé de la science et des premiers principes.

Infrarouge sur le spectre électromagnétique
Infrarouge sur le spectre électromagnétique

L'essentiel, c'est que tout le spectre électromagnétique est dérivé de notre système solaire. En son sein se trouve le spectre infrarouge, et dans le spectre infrarouge peuvent être décrits cinq secteurs distincts et se chevauchant, culminant dans le spectre infrarouge lointain (FIR) qui est gradué de 3 à 1000 microns de longueur d'onde. C'est la partie du spectre qui m'intéresse le plus - notamment en ce qui concerne l'interface humaine et le corps humain.

Lorsque l'on considère l'impact des systèmes infrarouges sur le corps humain, il existe deux principaux facteurs d'égale importance au travail.

Rayonnement humain

Le premier est que - comme tout organisme vivant - les êtres humains sont eux-mêmes une source de rayonnement infrarouge. La plupart des recherches suggèrent que les humains émettent un rayonnement infrarouge à hauteur de 3 à 50 microns.

La méthodologie exacte peut être élaborée à l'aide de plusieurs lois de la physique, notamment les calculs de constante de Plancks, de Boltzmann, de température et de lumière. L'équation centrale peut être présentée ainsi:

équation centrale

Le point fondamental est que dans notre système solaire, les objets - y compris les humains - absorbent et émettent des ondes infrarouges - et l'équation ci-dessus présente les différences entre les deux.

Dans la vie quotidienne, les sensibilités humaines aux infrarouges - donner et recevoir peuvent être remarquées en cours de route. Plusieurs fréquences électromagnétiques (CEM) sont également transmises par les appareils électriques que nous utilisons quotidiennement - téléphones portables, moteurs électriques, sèche-cheveux, voitures hybrides, pylônes électriques, mâts de téléphone. Il est intéressant de noter que les appareils d'imagerie thermique - tels que les caméras de nuit - sont généralement réglés au plus sensible dans la plage de 7 à 14 microns pour les êtres humains et la vision humaine.

Le premier problème est donc que lorsqu'il s'agit d'émission infrarouge, le corps humain est loin d'être une ardoise vierge. La sagesse et les mesures scientifiques conventionnelles montrent que les êtres humains émettent généralement la plupart de leur rayonnement infrarouge à des longueurs d'onde d'environ 9.5 microns. C'est la référence - indiquant la température humaine centrale - à partir de laquelle la plupart des systèmes fonctionneront.

Infrarouge et eau

Le deuxième problème avec l'interface IR / humain est la relation entre le rayonnement infrarouge et l'eau. Étant donné que les êtres humains sont composés d'au moins 70% d'eau, cette relation est d'une importance capitale.

La nature des longueurs d’onde infrarouges peut en effet être définie par le comportement d’absorption d’eau. Différentes longueurs d'onde agitent les molécules de différentes manières. La taille de la longueur d'onde peut être mesurée par la manière dont les molécules vibrent.

Toutes les molécules vibrent - tant qu'elles sont à une température supérieure au zéro absolu (théorique) (-273.15 ° C). Lorsqu'elles vibrent, elles émettent une fréquence vibratoire (infrarouge) et les scientifiques ont découvert que lorsque les molécules sont à une certaine température, chaque type différent de molécule émet une fréquence infrarouge différente qui peut être mesurée par un spectromètre infrarouge - une machine qui mesure la fréquence une molécule vibre.

La plupart d'entre nous sont conscients que notre corps doit être composé de 70-90% eau. Il peut donc être intéressant de connaître le taux d'absorption spectrale de l'eau. Malheureusement, comme pour beaucoup dans le domaine scientifique, il n’ya pas de réponse facile à cette question! '

Au dernier décompte, selon des sources publiées, «l’eau a des taux d’absorption enregistrés environ 64,000! - Les complications sont dues à la température, à la pression atmosphérique, à un liquide ou à un gaz. Différentes longueurs d'onde agitent les molécules d'eau (H2O) de différentes manières. Vous trouverez ci-dessous quelques exemples de cette agitation (appelée étirement ou flexion). Le bleu pâle représente le «H2» et le bleu foncé le «O».

Graphiques
Des graphiques montrant les taux d'absorption de l'eau à travers le spectre infrarouge sont également présentés.

 

Il convient de noter que l’absorbance de l’eau au micron de 4-8, comme on l’a vu plus haut, correspond à la longueur d’onde à laquelle l’eau subit des vibrations de flexion dans sa structure moléculaire.

Mon avis est qu'il existe une corrélation directe entre l'excitation (flexion) des molécules d'eau et le corps humain: comme nous le savons tous, quand quelque chose vibre, il commence à se réchauffer. L'effet vibrationnel de ces milliards de molécules en mouvement est qu'il réchauffe en fait la température centrale de notre corps - jusqu'à 1 degré.

C'est cette capacité de l'infrarouge - `` à pénétrer littéralement dans le cœur du corps '', faisant de l'infrarouge la sortie principale et évidente de ce chauffage de confort - et cela peut s'appliquer à de nombreuses applications médicales et, peut-être, sportives et de performance.

La recherche et la littérature commencent à émerger - principalement du Japon, et certaines des États-Unis - sur le rôle expérimental des sources infrarouges dans la promotion de la déstoxicité - chez les humains et les animaux. Non seulement cela, mais aussi dans l'effet sur certaines maladies. Ce sont les premiers jours, mais certaines de ces études pourraient être considérées comme ouvrant la voie.

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